Puisque la demande en a été faites
Je m’en vais de ce pas continuer cet écrit
Ce n’est pas une histoire de fête
Ce ne sont que les pensées d’une soum et amie
Cette journée particulière pourrait avoir une saveur amer
La peur de mal faire se mélange à l’envie de satisfaire
Pour le commun des mortel une journée banale
Pour la soumise une obéissance totale
Oui Maître est le mot le plus important
Lever les yeux au ciel ou un simple soupir
Tout devient prétexte à pouvoir se faire punir
Est-ce normal d’avoir un tel comportement ?
Arrive le moment à la fois redouté et attendu
Le Maître sort la valise aux objets bien cachés
Il est temps pour moi d’aller me préparer
De me mettre en condition et de me mettre à nu
Le coeur battant, sur mes jambes bien campées
Me voilà yeux bandés et mains bien attachées
Plus moyen pour moi de m’échapper
Il me faut à 100% me donner
La voix du Maître, à mes oreilles résonnent
Et tel un serpent à qui l’on joue une mélodie
Me voilà envoûtée par le moindre petit bruit
Espérant que chacune des croix il me pardonne
Tout commence en douceur
Une main doucement la poitrine m'effleure
Pour venir sur chacun de mes tétons durcis
Apposer des pinces qui mordent sans merci
De ma bouche sort un cri étouffé
Mais cela ne dur qu’un instant
Une fois l’objet assimilé
Il devient presque inexistant
Le Maître me tourne autours lentement
Cela pourrait me faire stresser
Mais ce bandeau porté fièrement
Permet à la peur de s’effacer
Un bref sourire s’affiche sur mon visage
Effacé rapidement par l'électricité du bâton
Il me faut rester droite et mordre dans le bâillon
Encaisser le coup comme peut passer l’orage…
Tout ceci n’est que le commencement
Ma peau devient un tableau blanc
Que le Maître devenant peintre un instant
Va rougir ou bleuir avec ses instruments
Les coups pleuvent sur ma peau
Il n’y a pas de rythme régulier
Pas de mesure comme dans un concerto
Aucun moyen de pouvoir anticiper
Je sais que le Maître se régale
De voir mon corps se mouvoir et se tordre
Et moi en soumise idéale
Dans mon bâillon je me contente de mordre
C'est un jeu qui dur dans le temps
30 min ? 1 heure ? Je ne sais plus à présent
Douceur et douleur se mélange si parfaitement
Que je supplie mon Maître ardemment
Mais ceci n’est qu'un rêve ne l’oublions pas
Le réveil me tire brutalement de mon trépas
Frustration et déception en mon être s’insinuent
Dans ce rêve la jouissance n’est jamais obtenue
Il est temps, sur terre, de revenir
La vie reprend difficilement son cour
Que la prochaine nuit puisse vite venir
Zut bientôt 9h, il faut réveiller le Maître à son tour
Lui raconter mon rêve et lui faire part de mes tourments
Espérer qu'il puisse apaiser mon subconscient
Et même si ce n’est pas parfait
Rien que lui parlait fait son effet
Je m’en vais de ce pas continuer cet écrit
Ce n’est pas une histoire de fête
Ce ne sont que les pensées d’une soum et amie
Cette journée particulière pourrait avoir une saveur amer
La peur de mal faire se mélange à l’envie de satisfaire
Pour le commun des mortel une journée banale
Pour la soumise une obéissance totale
Oui Maître est le mot le plus important
Lever les yeux au ciel ou un simple soupir
Tout devient prétexte à pouvoir se faire punir
Est-ce normal d’avoir un tel comportement ?
Arrive le moment à la fois redouté et attendu
Le Maître sort la valise aux objets bien cachés
Il est temps pour moi d’aller me préparer
De me mettre en condition et de me mettre à nu
Le coeur battant, sur mes jambes bien campées
Me voilà yeux bandés et mains bien attachées
Plus moyen pour moi de m’échapper
Il me faut à 100% me donner
La voix du Maître, à mes oreilles résonnent
Et tel un serpent à qui l’on joue une mélodie
Me voilà envoûtée par le moindre petit bruit
Espérant que chacune des croix il me pardonne
Tout commence en douceur
Une main doucement la poitrine m'effleure
Pour venir sur chacun de mes tétons durcis
Apposer des pinces qui mordent sans merci
De ma bouche sort un cri étouffé
Mais cela ne dur qu’un instant
Une fois l’objet assimilé
Il devient presque inexistant
Le Maître me tourne autours lentement
Cela pourrait me faire stresser
Mais ce bandeau porté fièrement
Permet à la peur de s’effacer
Un bref sourire s’affiche sur mon visage
Effacé rapidement par l'électricité du bâton
Il me faut rester droite et mordre dans le bâillon
Encaisser le coup comme peut passer l’orage…
Tout ceci n’est que le commencement
Ma peau devient un tableau blanc
Que le Maître devenant peintre un instant
Va rougir ou bleuir avec ses instruments
Les coups pleuvent sur ma peau
Il n’y a pas de rythme régulier
Pas de mesure comme dans un concerto
Aucun moyen de pouvoir anticiper
Je sais que le Maître se régale
De voir mon corps se mouvoir et se tordre
Et moi en soumise idéale
Dans mon bâillon je me contente de mordre
C'est un jeu qui dur dans le temps
30 min ? 1 heure ? Je ne sais plus à présent
Douceur et douleur se mélange si parfaitement
Que je supplie mon Maître ardemment
Mais ceci n’est qu'un rêve ne l’oublions pas
Le réveil me tire brutalement de mon trépas
Frustration et déception en mon être s’insinuent
Dans ce rêve la jouissance n’est jamais obtenue
Il est temps, sur terre, de revenir
La vie reprend difficilement son cour
Que la prochaine nuit puisse vite venir
Zut bientôt 9h, il faut réveiller le Maître à son tour
Lui raconter mon rêve et lui faire part de mes tourments
Espérer qu'il puisse apaiser mon subconscient
Et même si ce n’est pas parfait
Rien que lui parlait fait son effet